L'accord de Nouméa prévoit qu’en cas de rejet de l’accession de la Nouvelle-Calédonie à la pleine souveraineté, un nouveau référendum pourra être organisé à la demande écrite d'un tiers des membres du Congrès à partir du sixième mois suivant le scrutin.
Cette demande a été effectuée, d'une part, par les élus du groupe Avenir en Confiance et, d'autre part, par les élus des groupes UNI et UC-FLNKS et nationalistes.
Un second référendum a donc été organisé par l'État le 4 octobre 2020.
Il est prévu par l'accord de Nouméa qu'en cas de nouveau rejet, une troisième consultation soit être organisée dans les mêmes conditions que la deuxième.